Resiliensa activateur d'intelligence collective
Resiliensa

Innovation

Aider nos entreprises à suivre les transformations de la société.

  • Entreprendre par effectuation

    N’avez-vous pas remarqué que malgré tous nos efforts pour construire des stratégies élaborées, nos beaux business plans s’effondrent au moindre imprévu ? Et je ne vous parle même pas de la situation inédite dans laquelle nous nous trouvons depuis quelques mois… qui nous prouve que la gestion des incertitudes va devenir plus que jamais notre quotidien.

    Alors autant partir du principe qu’il ne sert à rien de trop planifier et y aller en mode effectual !

    Mais l’effectuation, c’est quoi ? C’est faire avec ce que nous avons à disposition, en s’appuyant sur nos compétences, notre réseau, nos moyens, mais aussi sur tout ce que nous considèrions jusqu'à maintenant comme inutile ou sans valeur (nos déchets, par exemple). L'effectuation implique que nous ne savons pas exactement où nous allons et que nous avons confiance dans le fait que nous allons inventer en cours de route.

    Cette logique d’effectuation est à l’opposé de la logique classique causale, qui part d’un objectif à atteindre pour mettre ensuite en place les ingrédients pour y parvenir (cf le business plan). Ce paradigme ne tient pas compte des aléas et du monde changeant et complexe dans lequel nous nous trouvons aujourd’hui.

    Mode effectual 1000

  • Design Thinking, une autre façon d'innover

    Imaginée en 1987 par Peter Rowe, la méthode du Design Thinking permet de manager le processus d’innovation en  répondant à la vision « expérience client » du produit ou service.

    Le Design Thinking est centré sur l’utilisateur et les usages. Le design devient alors une approche globale du projet. Cette approche s’appuie sur un processus de co-création, mixant pensée analytique et pensée intuitive, et nécessite des retours utilisateurs tout au long du processus. Elle permet d’arriver à un projet correspondant aux attentes du marché, faisable techniquement et économiquement viable.

  • L’innovation Disruptive

    Comment devenir leader sur un marché déjà en place ?

    Ne cherchez pas de révolution technologie, trouvez l’innovation qui bouleversera les usages et les habitudes de consommation. Ce changement radical du marché fera de l’initiateur de cette innovation de rupture la référence à suivre !

    L’évolution technologique est là, bien sûr, mais en soutient à l’évolution de l’usage.

    Par exemple, lorsque  Apple invente l’Ipod, le walkman détient le marché de la musique mobile. L’innovation disruptive de l’Ipod, ce n’est pas la numérisation de la musique, c’est le changement du mode d’achat de la musique. Avec l’Ipod, plus besoin d’aller dans un magasin pour acheter un titre de musique, l’achat devient à son tour mobile. Et ça, ça change tout pour le consommateur !

    La théorie de l’innovation disruptive a été définit par Clyton Christensen, qui en 1997 publie « The Innovator’s Dilemma », puis « The Innovator's solution ».

  • La Blue Economy

    Gunter Pauli, qui a conçu le modèle économique de la Blue Economy, a démontré que produire sans polluer est non seulement possible, mais plus rentable et crée des emplois !

    Inspirée des principes de l'économie circulaire, la Blue Economy se distingue de l'économie verte (développement durable) de par son côté local. L'objectif est de créer localement des consortiums d'entreprises qui vont utiliser chacune les déchets (physiques et/ou énergétiques) de l'autre pour produire de la valeur et générer ainsi des emplois en utilisant ce qui est localement disponible.

    Ce modèle s'inspire de la Nature, qui elle, ne produit pas de déchets : les déchets des uns sont les matières premières des autres !

    Alors comment transformer nos déchets en matière premières ?